Fabrice Lucchini, c’est un peu le pendant masculin de Jane Birkin. On aime ou on déteste. Rarement d’entre deux. C’est d’ailleurs souvent précisément ce pourquoi on l’aime que les autres le détestent (et inversement) : mimiques forcées, enfilade de citations, monologues interminables et autres délires « variétesques ». (suite…)