Charles Heidsieck c’est avant tout l’histoire d’un personnage, un dandy de la belle époque, qui a insufflé dans ses bouteilles son amour du travail bien fait. Grand voyageur et entrepreneur de Talent on retrouve dans le champagne Charles Heidsieck l’ADN culturel de son créateur.
Le contenu d’une bouteille de champagne Charles Heidsieck est le résultat d’un travail ancestralement reconnu dans le monde et plus particulièrement par les amateurs de champagne. Entre sélection des raisins, vinification cru par cru et cépages par cépages, le processus de création s’apparente à l’édification d’une oeuvre d’art. Un perfectionnisme qui va jusqu’a laisser un temps de maturation de 3 ans minimum aux champagnes millésimés, là ou la loi ne demande que 15 mois.
Les flacons des champagnes Charles Heidsieck portent en eux toute la personnalité de la Maison.
C’est donc dans cette veine que la marque a décidé d’honorer les champagnes Charles Heidsieck d’un nouveau contenant respectant l’image de dandy de Charles Heidsieck. Inspirée des nouvelles crayeres gallo-romaines, dans lesquelles le champagne Charles Heidsieck acquièrt sa valeur, la nouvelle bouteille gagne en personnalité, plus masculine que jamais elle trônera parfaitement sur votre table en toutes circonstances.
Nous avons eu le plaisir de recevoir le champagne Charles Heidsieck Brut Reserve en coffret avec sa bouteille au design si particulier. Simplicité, sobriété et efficacité ont été les maîtres mots lors de la conception de cette bouteille et le résultat est épatant.
Pour découvrir la maison de Champagne: www.charlesheidsieck.com
CHARLES HEIDSIECK… ?! UN CHAMPAGNE ÉVENTÉ SUCCESSIVEMENT PAR DEUX PRÉSIDENTES. LA VÉRITÉ… ?! CE SONT ELLES QUI SE SONT MONTRÉES « IMBUVABLES », MAIS LES RÉSULTATS SONT LÀ ! Jugez plutôt.
Anne-Charlotte AMAURY (REMY MARTIN) et Cécile BONNEFOND (EPI).
Vous ne serez pas surpris d’apprendre un jour et moi, le dernier à le déplorer, que la Présidente des champagnes PIPER-CHARLES HEIDSIECK, Cécile Bonnefond, ait déjà été « lâchée » par les repreneurs ! Des rumeurs circulent… Et pas qu’en Champagne ! Je tiens de diverses sources, que les Descours, propriétaires d’EPI, acceptent les dîners en ville, mais dorénavant à l’unique condition, que l’on n’y serve pas en leur présence ce « maudit » champagne Charles Heidsieck. (Ils emploieraient même le terme de « mauvais champagne »). Quand aux aux partenaires du Groupe ?! Ils achètent sous mes yeux, les marques concurrentes pour l’offrir, (c’est un comble), ahurissant… au responsable de l’Enseigne chez NICOLAS ! Mes gazettes, photos à l’appui, en attestent. Je n’ai donc aucune chance d’être condamné pour diffamation, et celui ou celle qui s’y risquera sera condamné aux dépends !
Mais pour revenir aux bulles damnées ! Rien de surprenant ici, depuis le temps que je tire la sonnette d’alarme ! A-t-on jamais vu en Champagne une décroissance aussi vertigineuse ! À ce stade, il n’y a pas loin à penser que le lancement « Dandy », pour amateurs de bouteilles à long col et d’étroite embouchure, (cela ne vous rappelle-t-il pas une fable, Madame ?), s’est révélé être un « Flop » et les résultats qui en découlent, collent à la peau du soi-disant héro, sans visage et sans voix, bref …sans âme aucune !
Le paradoxe a voulu que ce soit vous-même, Madame, qui avait insisté en interne dans votre Groupe, (en tous les cas, vous vous en êtes vantée durant l’entretien, l’unique que nous avons eu), pour tenter de remonter la marque lyophilisée par votre prédécesseur, (désolé il n’y a pas de féminin à ce mot), Anne-Charlotte Amory, qui après avoir travaillé pour des sources thermales a confondu à l’évidence, lait avec champagne, LACTEL avec HEIDSIECK ! Pasteuriser un champagne ! Lui retirer son caractère… Mais quelle idée saugrenue, surtout quand on parle du « Charles » ! Et tout cela, après avoir dépensé une fortune pour une étude de marché qui a conduit à cette hérésie ! Alors… Et ici qu’on ne vienne pas me dire qu’il faut avoir fait HEC ou une autre grande école pour diriger une maison, car je lui fiche ma main dans la figure. Je laisse ces billevesées d’un autre temps, à « Tante Nadine » !
Une femme aux commandes… Encore une ! Parviendra-t-elle à dépêtrer Charles Heidsieck, de l’incongruité ? Ma réponse : J’EN DOUTE.
1/ Il eut fallu commencer par retirer du marché les « couleuses »… (Le « Charles » que j’ai bu, (j’ai payé ma consommation), dans les foyers de l’Opéra Bastille le soir de L’AROP 2012, était jaune albumine, plat et à la limite de « renarder »). Pour une fois que la marque était présente ! Cécile Bonnefond ne s’en est jamais souciée. Sans compter que pour cela, il faut effectivement un « Heidsieck » sur place pour s’en rendre compte et rendre compte à la firme. Voilà un travail parfaitement approprié pour des jeunes papilles, et les miennes de sont pas en reste ! S’il est bon, le champagne est inoffensif pour la santé. Mon grand-père Jean-Charles Heidsieck, publicité vivante au XXème siècle pour cette marque, que j’adorais, (lui et la marque), en a bu 50.000 bouteilles dans sa vie. Grand voyageur, il a vécu comme un charme, presque centenaire.
2/ Redonner un coup de pouce aux assemblages… Travailler sur l’excellence de l’oenothèque (valeur à reconsidérer) et à l’occasion prendre cas de mes humbles avis qui auraient évité au moins les derniers écueils à cette marque exsangue, cannibalisée par PIPER ! De toutes les façons c’était stupide de faire se rejoindre les deux marques PIPER et CHARLES quand MONOPOLE reste la propriété de monsieur Paul Vranken. C’est en faire une double cible facile à atteindre pour ce « Mr. DUMPING » au moment des fêtes ! Les initiés comprendront. Et ce n’est pas Charles Philiponnat, (BBC), mon compagnon de classe chez les Jésuites de Saint Joseph à Reims, avec lui son BAC + en poche, qui pourra réfuter le propos !
3/ Confier la direction à un anglais était pure folie, d’autant que pour un cadre dirigeant travaillant pour le groupe EPI propriétaire de Weston, de Figaret, etc, pour me saluer en coup de vent dans les bureaux, il n’avait même pas les chaussures faites. Elles tenaient plus, vous pouvez m’en croire, des godasses de Charlot l’immigré, que des souliers impeccablement cirés de George Brummel, authentique pionnier du Dandysme Britannique durant la Régence anglaise ! Rien n’allait avec rien dans son accoutrement. Il faut être cohérent dans une phase de lancement… Et puis ! Quelle arrogance de vouloir relancer la marque par l’Angleterre coiffée de POL ROGER et pollué par bon nombre de marques. Encore un truc de cinglée. Seul le groupe Lanson BBC avait des atouts pour cela et encore ! Même LVMH n’est pas à la noce en Angleterre.
En tous les cas, cela ne m’a pas empêché, moi, de faire une apparition remarquée sur la BBC World News, cette année ! (sur youtube).
Mes conseils (propositions énumérées dans un rouleau), n’ont servis à rien, et pourtant ! Mon positionnement « de par les îles » pour « Charles Heidsieck », avait l’avantage de valoriser La Martinique et La Guadeloupe (Territoires français outremer), premiers consommateurs de champagne dans le monde. Et puis ensuite, par l’Indonésie, (tous, musulmans compris ne sont pas sobres !), les Philippines que je connais bien, (il faut s’attaquer aux niches de marchés), et les îles attenantes aux cinq continents ne manquent pas ! Reprendre du terrain par les rivages et en musique ! C’est formidable Non ?! Ceci m’a demandé dix ans de travail et de recherches pour parvenir à conter l’histoire fantastique des miens dans la langue de Mozart, contemporain de Florens-Louis Heidsieck ! Et ici ?! Aucun champenois concurrent ne peut rivaliser cette approche ADN-H, pour le coup authentique et digne de mes aïeux. Et la musique un trésor de richesses est un parfait vecteur culturel, en soi est un langage universel qui évite de dessiner du virtuel digne de n’importe quoi.
4/ … Se montrer moins arrogante et éviter de se dérober maladroitement. Mais pour cela il faut avoir confiance en soi. S’interroger… !
Madame, vous vous êtes montrée outrecuidante à mon égard ! Jamais a-ton vu un cadre dirigeant rétorquer à une personne, (je vous invitais à venir entendre et apprécier « Champagne Concerto » œuvre de mon cru, et m’enquérissais bien légitimement dans la foulée de vos intentions quant à mes propositions). Réponse insensée : « … JE NE SUIS PAS LÀ POUR FAIRE TRAVAILLER UN CHÔMEUR ! ». Vous vous êtes pris dans les ratiches un téléphone cinglant de PÔLE EMPLOI pour vous remettre à votre place :
a/ C’était parfaitement déplacé, surtout quand vous m’aviez contacté la première,
b/ Parfaitement idiot, car les demandeurs d’emploi longue durée représentent une économie actuellement en terme de ressources humaines pour l’entreprise.
c/ J’avais formulé neuf propositions, qui avaient le mérite, et pas seulement au plan de la communication, d’ouvrir l’éventail en grand, la dixième restant votre apanage ! Mais, restée lettre morte.
5/ Votre bouteille « Col fin et corps ventru » (rien que le terme) est moche. On ne sait pas si elle tient plus de la bouteille de cidre ou d’huile.
6/ Vos étiquettes ne sont pas digne d’une société de « Design ».
Tiens ! Je me demande même comment le CIVC a pu les valider. CHARLES ! (Tout même, vous y êtes parvenue à l’ajuster avec CHAMPAGNE), sur la règle, n’est même pas aligné à HEIDSIECK. Ça joue mal !
7/ Positionner en France chez NICOLAS ce BSA (brut sans année- à 39 euros alors qu’on peut s’offrir une RUINART à 40 euros, ne laissait, ne laisse et ne laissera aucune place, au choix du consommateur. (Pourquoi faire ici l’économie d’un euro… pour le donner au clodo du coin de la rue, peut-être ?!). Pffffff
8/ Votre Dandy « Hétéro-bôbô » est complètement à côté de la plaque, à l’heure avérée, et que cela plaise ou non, du mariage pour tous ! Un Arsène « Rupin » (C’était le personnage que tenait Georges Descrières dans Arsène Lupin). Et dans le film « Champagne Charlie » il n’avait justement pas le bon rôle. Vous avez tout mélangé, et n’avez en réalité décidément rien compris à l’histoire de la marque.
CHARLES HEIDSIECK… ? NON MADAME ! PAS UN « Fake » DANDY.
UN AVENTURIER… PEUT-ÊTRE. UN HOMME DE SON TEMPS ! OUI, CELA… CERTAINEMENT !
9/ … Par malchance vous avez dû trop fréquenter mes cousines MORGEN pour vous persuader (à tort) que les origines HEIDSIECK proviennent de l’Alsace et de la Lorraine, quand j’ai dû vous envoyer un WALBAUM pour vous déciller. Apparemment c’était trop tard, vous aviez déjà pris la route de « l’erroné » pour me raccompagner par une porte dérobée. La sortie des artistes… Je présume. Quel tact !
10/ Et depuis le temps ! Vous ne savez pas ouvrir convenablement une bouteille de champagne. Cela a été ma plus grande déconvenue.
Et je ne m’attarderai pas sur la bouteille envoyée à ma figure, ici à mon domicile parisien, (mais pour qui vous prenez-vous ?!), vous essayant gauchement à imiter une femme du monde, qui désorientée, prise au dépourvu, aurait envoyé son gant, à la figure d’un gentleman. En réceptacle approprié du genre, je suis resté de glace ! En attendant ! Votre salaire rondelet comme le ventre de votre bouteille, ne fera oublier à personne que, durant ce temps :
– Vous avez manqué cible et vous êtes décrédibilisé !
– DESCOURS (EPI) a retardé l’occasion de se hisser au rang d’un GROUPE de LUXE digne de nom et ce n’est pas les chiffres de PIPER, certes en sixième position avec cinq millions de cols mais en baisse de plus de 10% par rapport à 2010, qui viendront me contredire.
– Ce gâchis va-t-il durer et pour combien de temps encore ?! Et tout cela coûte de l’argent à la marque, et plus regrettable encore, ne met pas un euro dans ma poche. Je vis en dessous du seuil de la pauvreté. Depuis deux ans, mes ressources personnelles n’excédent pas 400 euros/mois. Bientôt on me verra en « Nouveau Charles Heidsieck », laissé pour compte, par vous, Madame Cécile Bonnefond ! Mendiant loqueteux, faisant la manche au pied des enseignes de vins parisiens ! C’est un comble, si « Charles » reprenait par miracle du poil de la bête, c’est à moi que le consommateur donnera « l’euro » différentiel de RUINART À HEIDSIECK ! On frise le scandale. La photo à l’image de cette déchéance est à venir et ne vous portera pas chance !
Charles-Efflam HEIDSIECK